PRESENTATION ET OBJECTIFS

La Géobiophysique® (www.iga-asso.fr) est l'étude, par des moyens scientifiques et sensitifs, des effets sur le vivant des propriétés physiques, naturelles et artificielles, de son environnement (magnétisme, électricité, radioactivité, etc.)

« Géologie – Biologie – Physique »

Au-delà de la géobiologie, qui ne prend en compte que l'environnement, la Géobiophysique®, au sens où l'entend l'Institut de Géobiophysique Appliquée® (IGA), prend en compte les habitants des lieux et développe une démarche d'harmonisation énergétique des personnes.

Les techniques mises en œuvre par l'IGA constituent une voie originale, s'appuyant sur la compréhension de phénomènes physiques d'avant-garde (physique quantique, subquantique, connaissance des ondes scalaires, aussi appelées champs de torsion) mises en lumière depuis le début du siècle dernier (Tesla, de Breuil, Schrödinger, Heisenberg, Lakhowsky, Pribram, Guillé, Dutheil, Pinel, Popp, Bearden, Wheeler, Akimov, Laszlo…).

Il s'agit d'une voie complémentaire à celle de la médecine, consistant à agir par une intention ciblée et selon un protocole précis, sur le champ d'information qui organise et anime le corps physique (ou peut l'appeler "corps subtil").

Le principe fondamental repose sur la compréhension suivante :

• l'énergie est une information, l'information se déplace grâce à un support (une onde) : c'est le "couple énergie vibratoire/support vibratoire" décrit par Etienne Guillé.

• l'information peut évoluer dans deux sens : diminution de l'information et tendance vers le désordre, c'est l'entropie ; accroissement de l'information et de l'ordre, c'est la néguentropie.

L'être humain dans sa dimension physique est condamné à l'entropie (la mort). Mais par son incarnation, il est aussi créateur de néguentropie car il est capable, par sa volonté, de mobiliser les énergies allant dans le sens de la vie.

 Application pratique :

Ce travail comporte une phase d'analyse des perturbations énergétiques, puis une phase dite d'harmonisation. Elle s'applique aux lieux de vie et aux personnes.

Lieux de vie :

L'analyse consiste à rechercher les champs électromagnétiques naturels (présence de failles géologiques, de veines d'eau souterraines, de perturbations du champ magnétique terrestre connues sous le nom de "réseaux cosmo-telluriques " Hartmann, Curry, etc.) et artificiels (champs basses fréquences du courant domestique et appareils électriques, hautes fréquences des dispositifs sans fil de téléphonie, WiFi, WiMax, TNT, antennes-relais GSM, four micro-ondes, etc.) susceptibles de perturber les êtres vivants.

L'harmonisation vise à éliminer toutes les causes possibles (téléphones DECT, WiFi,…) et à compenser les effets de celles qui seraient impossibles à éliminer, par tous moyens physiques (peintures et tissus anti-rayonnement, interrupteurs automatiques de champ, etc.) auxquels nous adjoignons un dispositif fonctionnant selon le principe qui sera décrit ci-dessous, concernant les personnes.

Personnes :

L'analyse consiste à détecter les tendances à l'entropie, c'est-à-dire au désordre, à la désinformation (travaux de Régis Dutheil "La médecine superlumineuse", considérant la maladie non comme une perturbation moléculaire, mais une perturbation informationnelle, ou une perte d'information - l'entropie - ayant un effet moléculaire). L'harmonisation est réalisée selon deux principes :

- la "reprogrammation" des champs d'information afin d'impulser une dynamique de néguentropie (tendance vers l'ordre, la ré-information)

- l'"effacement" des informations perturbantes inscrites dans les champs cellulaires, qu'elles soient les causes ou les effets de perturbations.

Cette approche est pratiquée depuis des millénaires par les médecines dites "traditionnelles" et les magnétiseurs. La médecine "moderne" a marginalisé ces approches en se fondant sur une approche mécaniste du corps humain, fondée sur la physique newtonienne. Aujourd'hui, les courants avant-gardistes de la médecine quantique sont en train d'en redécouvrir les immenses possibilités.

La démarche proposée par la Géobiophysique® pourrait donc se résumer par la recherche d'"un corps sain dans un environnement sain", au moyen d'une alimentation saine et équilibrée, de la non-exposition aux rayonnements électromagnétiques perturbants (naturels et artificiels), et d'une ré-information du corps favorisant sa régénération.

Le terme Géobiophysique® a été inventé vers 2001, lors de la mise sur pied par Paul THEVENOT du cadre général allant permettre la création en 2002 de l'Institut de Géobiophysique Appliquée®, dont les statuts ont été déposés officiellement le 20 mars 2002.

Le dépôt de marque a été effectué le 26 juillet 2004 auprès de l'INPI, sous le numéro 04 3 305 133. Il a été publié au Bulletin Officiel de la Propriété Industrielle n° 04/53 vol. 2 du 31 décembre 2004.

Le praticien en Géobiophysique®

Le praticien en Géobiophysique® a suivi une formation théorique et pratique intense.

Il a décidé de se mettre au service de la santé de son prochain que ce soit de manière professionnelle ou bénévole.

Selon la charte de déontologie, le praticien en Géobiophysique® ne pose pas de diagnostic et ne soigne pas, il rétablit les fonctions et circulations énergétiques.

Il s’engage à respecter tout traitement médical en cours, à ne pas le modifier ou l’interrompre. Il est susceptible de se mettre en rapport avec le médecin traitant.

En cas de problème de santé constaté ou supposé, il invite les personnes concernées à contacter leur médecin ou un autre professionnel de la santé. Il est tenu à la plus grande confidentialité.

Le praticien suit un protocole très précis, visant à garantir la qualité de son intervention.

1/ Il examine d’abord l’habitat : perturbations telluriques (veines d’eau souterraines, failles géologiques, réseaux telluriques Hartmann, Curry,…), pollutions électromagnétiques artificielles (mises à la terre, appareillages électriques,...), perturbations diverses dues à l’architecture, aux objets, à l’environnement extérieur.

Il utilise à cette fin des instruments sensitifs (baguette, radmasters, antenne de Lecher, pendule) ou électroniques (détecteurs-mesureurs de champs).

En cas de besoin, il rétablit l’équilibre énergétique du lieu au moyen d’un harmonisateur mis au point au sein de l’IGA.

Son intervention ne s’arrête pas là : le praticien examine le niveau énergétique des habitants, en mesurant différents paramètres.

2/ Il procède ensuite à l’harmonisation des personnes, en supprimant les blocages énergétiques créés par les perturbations, et en rétablissant la circulation des flux énergétiques, à l’aide de cristaux de forme et de taille particulières.

Il contrôle le résultat de son intervention au moyen d’une nouvelle série de mesures.

Il procède également à des tests afin de détecter d’éventuelles intolérances alimentaires.

3/ Un système de suivi permet aux personnes d’exprimer leur avis et leur degré de satisfaction, et aux praticiens de connaître les résultats des interventions.

(www.iga-asso.fr)